Cliquez ici >>> đ pas de regard tĂ©lĂ©com sur mon terrain
Ouic'est tout à fait compréhensible. Si le temps d'attente est plus long qu'habituellement sur les réseaux sociaux compte tenu de la situation actuelle, sachez que
DĂ©couvrezce Terrain + Maison Ă vendre comprenant 5p. Maison de 90mÂČ sur un terrain de 439mÂČ Saint-Jean-Pierre-Fixte 28400 - 12357063 - Achat Terrain, construisez vos rĂȘves
LePBO (Point de Branchement Optique) est un boĂźtier placĂ© Ă lâextrĂ©mitĂ© amont du CĂąblage Client Final oĂč lâon viendra raccorder les prises optiques des clients au rĂ©seau fibre optique vertical.. LâĂ©quipement est situĂ© Ă lâextrĂ©mitĂ© du cĂąblage en aval du PM et juste avant le cĂąblage client final (CCF) qui permet de relier le PBO au PTO Ă lâintĂ©rieur du logement.
APRNEWS- Hormis quelques romanciers comme le Sud-Africain John Maxwell Coetzee ou les NigĂ©rians Chinua Achebe et Wole Soyinka, il est lâintellectuel africain le plus traduit au monde. Chaque ouvrage quâil publie est traduit dans une quinzaine de langues, dont le catalan, le nĂ©erlandais, le serbe, le danois, le suĂ©dois, lâarabe et le japonais.
Estce possible qu'il n'y ait pas du tout de regard ? sibusate Disciple de L'Univers Inscrit le: 01 Mar 2014 Messages: 103 . 112 points. sibusate, Posté le: Mar 02 Aoû 2022, 12:44 Sujet du message: 97539 90731: Bonjour Tout à fait possible. En ce qui me concerne, le fourreau - celui qui amenait la ligne téléphonique - va directement de la trappe France Telecom sur le
Ou Rencontrer Des Femmes Celibataires A Montreal. PubliĂ© le 26/08/2022 Ă 1059, Mis Ă jour le 26/08/2022 Ă 1451 Cyril Hanouna lors du pilote de Touche pas Ă mon poste! » le 25 aoĂ»t 2022 Jack TRIBECA / Bestimage pour C8 NOUS Y ĂTIONS - Le 29 aoĂ»t Ă partir de 19h10, Cyril Hanouna aborde la onziĂšme rentrĂ©e de son talk-show sur C8. Un record de longĂ©vitĂ© pour un mĂȘme animateur dans une quotidienne diffusĂ©e en 8 octobre 2012, Cyril Hanouna Ă©tait aux manettes pour le lancement de D8 et celui de la nouvelle formule de Touche pas Ă mon poste! ». Dix ans plus tard, la chaĂźne a changĂ© de nom mais l'animateur est toujours Ă la tĂȘte de son talk-show et aborde cette nouvelle saison avec une Ă©nergie inĂ©branlable. Jeudi Ă la Canal Factory de Boulogne-Billancourt, tel un marathonien, il a enchaĂźnĂ© trois sĂ©ances d'enregistrement en l'espace de huit heures sans la moindre baisse de rĂ©gime. AprĂšs un Ă©tĂ© rythmĂ© par les tournois de padel tennis et l'objectif fou d'intĂ©grer le top 100 français de la discipline, Cyril Hanouna a retrouvĂ© un terrain oĂč il est tout aussi Ă son aise, celui du plateau de TPMP ». La tendance de cette nouvelle saison sera d'ĂȘtre davantage dans la bonne humeur, nous a-t-il confiĂ©. Il y aura toujours des gros dossiers et des dĂ©bats mais nous allons davantage aller vers le divertissement. Les gens ont envie de rigoler et nous aussi. »La saison 2021/2022, marquĂ©e par la campagne prĂ©sidentielle et de nombreux sujets sociĂ©taux, a Ă©tĂ© celle de tous les records pour TPMP » avec 24% d'augmentation de l'audience moyenne en un an, tĂ©lĂ©spectateurs au rendez-vous 6,8% de PDA, un pic record Ă plus de 2 millions, et un succĂšs sur le digital avec 3,2 milliards de vues sur les rĂ©seaux sociaux et plateformes vidĂ©o selon la chaĂźne. Le talk animĂ© par Cyril Hanouna sĂ©duit de plus en plus les jeunes et se positionne en tĂȘte du classement sur les cibles 15-24 ans avec 9,2% de PDA. Les âouaisâ, je n'en veux plus »Cyril HanounaĂ 11 heures pĂ©tantes, vĂȘtu d'une chemise blanche dĂ©contractĂ©e, il a lancĂ© le premier des trois pilotes. Je viens de me rĂ©veiller les gars », lĂąche-t-il aux Ă©quipes autour de la table. Face Ă lui, dix chroniqueurs dont trois nouveaux visages ceux de la prothĂ©siste ongulaire Radia Kebaili, de la journaliste CĂ©line Alonzo et de la jeune influenceuse belge Camille Fischbach. Ă leurs cĂŽtĂ©s, Benjamin Castaldi, ValĂ©rie BenaĂŻm, Kelly Vedovelli, Bernard Montiel, Guillaume Genton, Gilles Favard rĂ©vĂ©lĂ© en fin de saison derniĂšre pour ses prises de bec avec Gilles Verdez et Oliv Oliv. Comme Ă son habitude, Cyril Hanouna chambre, taquine mais s'agace aussi parfois. Les âouaisâ, je n'en veux plus », demande-t-il au moment d'aborder un premier dĂ©bat. Et cet intitulĂ©, c'est trop long, ça ne va pas », dit-il aux Ă©quipes de production. Dans une bonne humeur omniprĂ©sente, les anciens ont rapidement retrouvĂ© leurs marques. Chez les nouveaux, Radia Kebaili et Camille Fischbach ont semblĂ© impressionnĂ©es tandis que CĂ©line Alonzo s'est dĂ©marquĂ©e par davantage d'aisance et de 15 heures, face Ă un Cyril Hanouna en chemise noire, la deuxiĂšme session a laissĂ© une large place aux nouveaux chroniqueurs avec, prĂšs d'Isabelle Morini-Bosc, Nicolas Pernikoff et Myriam Palomba, les animateurs Nicolas Perrin et Lamal Pistolero, la modĂšle et comĂ©dienne Sally Sanogo, le chroniqueur de William Ă midi » Antoni Ruiz et le comĂ©dien Anthony Ross. AprĂšs trois apparitions la saison derniĂšre, Anissa Consul fille de CĂ©cile, ancienne participante de MariĂ©s au premier regard » sur M6 a fait son retour. Je me sens Ă l'aise dans âTouche pas Ă mon posteâet Cyril fait tout pour que je le sois, nous a confiĂ© la jeune femme de 20 ans. J'aimerais bien continuer et revenir rĂ©guliĂšrement cette saison. » En plateau, Anissa s'est prĂȘtĂ©e au jeu des plaisanteries de Cyril Hanouna et a marquĂ© des prĂ©cieux points. Les autres nouveaux se sont Ă©galement Ă©panouis et ont pris part aux dĂ©bats proposĂ©s avec aprĂšs 17 heures, le troisiĂšme pilote a rĂ©uni Benjamin Castaldi, le revenant Jean-Michel Maire, Delphine Wespiser, BĂ©atrice Rosen la rĂ©vĂ©lation de la saison derniĂšre, GĂ©raldine Maillet, Raymond Aabou le chroniqueur prĂ©fĂ©rĂ© des tĂ©lĂ©spectateurs, Danielle Moreau et Gilles Verdez. L'animatrice Julie Raynaud, amie de longue date de Cyril Hanouna, s'est intĂ©grĂ©e Ă la bande comme si elle en avait toujours fait partie. LĂ©na Guillou, ancienne candidate des Marseillais » et des Princes et princesse de l'amour » devenue influenceuse et YouTubeuse, faisait partie des nouveaux visages. La compagne du footballeur Adil Rami a pris la parole sans vraiment marquer les esprits au contraire de l'humoriste Nino Arial, redoutable sniper aux saillies ultra-efficaces comme a pu l'ĂȘtre Jean-Luc Lemoine avant lui dans l'Ă©mission. Enfin, le stand-upper IlyĂšs Djadel que Cyril Hanouna a dĂ©couvert au dernier Marrakech du rire est venu faire un happening de deux minutes qui a fait l'unanimitĂ©. Je suis incapable de dire qui va rĂ©ussir Ă se faire une place cette annĂ©e »Lionel Stan, producteur de Touche pas Ă mon poste! Ȉ plusieurs reprises, Cyril Hanouna a rappelĂ© que ces essais, aussi satisfaisants soient-ils, ne dĂ©bouchent que trĂšs rarement sur des titularisations. Je suis un peu le Didier Deschamps de la tĂ©lĂ©vision, j'observe, je rĂ©flĂ©chis et je prendrai des dĂ©cisions », a-t-il caricaturĂ© avant d'ironiser sur les prĂ©cĂ©dentes saisons. Le pilote de âTPMPâ, c'est le moment oĂč on essaye des gens qu'on ne revoit plus jamais ensuite. » AprĂšs les tournages, l'animateur-producteur reconnaĂźt que cela va ĂȘtre un vĂ©ritable casse-tĂȘte de faire des choix. Parmi les nouveaux, il y en a quatre ou cinq qui vont intĂ©grer l'Ă©quipe avec certitude », nous a-t-il rĂ©vĂ©lĂ©. Quant aux contenus des enregistrements, si Sacha Elbaz en sĂ©lectionnera astucieusement quelques-uns pour sa chronique hebdomadaire sur les coulisses de TPMP », ils demeureront secrets. Comme Ă Las Vegas, ce qu'il se passe dans le pilote de Touche pas Ă mon poste! » restera dans le pilote. J'adore faire des pilotes, on peut y dire des choses qu'on ne peut pas habituellement », a fait remarquer l'animateur, sans le moindre filtre lors des trois lire aussiJe n'aurais pas eu la mĂȘme carriĂšre» Cyril Hanouna dit sa gratitude Ă Jean-Pierre Foucault Le pilote de âTPMPâ est une vraie tradition chaque saison, souligne Lionel Stan. Ce sont les retrouvailles entre Cyril et toutes les Ă©quipes avec la coupure estivale, il en a besoin. » Le producteur ne considĂšre pas ces enregistrements comme un casting », sachant par expĂ©rience que les nouveaux chroniqueurs s'imposent plus souvent en dĂ©barquant en cours de saison qu'en s'essayant lors du pilote. J'ai trouvĂ© que cela s'Ă©tait bien passĂ© aujourd'hui, il y a plein de talents », nous a-t-il dĂ©clarĂ© en prĂ©cisant que le dernier mot reviendra Ă Cyril Hanouna. Notre derniĂšre saison s'est trĂšs bien dĂ©roulĂ©e et il va avoir envie de miser sur ses valeurs sĂ»res. Je suis incapable de dire qui va rĂ©ussir Ă se faire une place cette annĂ©e. » Quant Ă la construction mĂȘme de l'Ă©mission, les rubriques restent quasiment les mĂȘmes. Nous avons une nouvelle Ă©quipe et une nouvelle Ă©criture pour rĂ©aliser nos magnĂ©tos », nous prĂ©cise-t-il. Autre petite nouveautĂ©, un QR code apparaĂźtra rĂ©guliĂšrement sur l'Ă©cran et permettra aux tĂ©lĂ©spectateurs d'accĂ©der Ă un rĂ©sumĂ© de l'Ă©mission en nouvelle saison de Touche pas Ă mon poste! » dĂ©bute le 29 aoĂ»t pour une diffusion du lundi au vendredi Ă partir de 19h10 sur C8.
Besoin dâeffectuer des travaux tĂ©lĂ©coms ? Travaux-Fibre-Optique est une entreprise spĂ©cialisĂ©e dans le dĂ©bouchage de fourreau pour la fibre optique. Notre Ă©quipe propose la rĂ©alisation des travaux dont le technicien de votre opĂ©rateur tĂ©lĂ©coms a besoin pour finaliser le raccordement de votre domicile. Quâil sâagisse dâune gaine bloquĂ©, dâun regard introuvable, dâune tranchĂ©e Ă effectuer ou dâun aiguillage de gaine, nous sommes lĂ pour vous accompagner. Avec Travaux-Fibre-Optique plus besoin de faire appel Ă un Ă©lectricien, un jardinier, un maçon ou un terrassier puisque tous ces mĂ©tiers sont rĂ©unis au sein de notre Ă©quipe. Quel que soient vos travaux, nous avons lâĂ©quipe pour les mener Ă bien On pourrait vous expliquer Ă quel point nous sommes passionnĂ©s par notre mĂ©tier et obsĂ©dĂ©s par lâidĂ©e du travail bien-faitâŠon pourrait. Mais pour une fois on va vous demander de ne pas nous faire confiance et dâĂ©couter plutĂŽt ce que nos clients ont Ă dire de nous
SecuPressVous nâĂȘtes pas autorisĂ© Ă accĂ©der Ă lĂ page enregistrĂ©s Votre IP 28 August 2022 1110Raison Mauvaise GĂ©olocalisationSupport ID
APRNEWS - Hormis quelques romanciers comme le Sud-Africain John Maxwell Coetzee ou les NigĂ©rians Chinua Achebe et Wole Soyinka, il est lâintellectuel africain le plus traduit au monde. Chaque ouvrage quâil publie est traduit dans une quinzaine de langues, dont le catalan, le nĂ©erlandais, le serbe, le danois, le suĂ©dois, lâarabe et le japonais. Pourtant, le rayonnement international de son travail est mal connu sur le continent et beaucoup nâhĂ©sitent pas Ă lui tirer dessus Ă boulets rouges. Comme aprĂšs son dernier sĂ©jour au Cameroun, en compagnie du prĂ©sident français, Emmanuel Macron. Jeune Afrique Ătes-vous frustrĂ© par les critiques incessantes auxquelles vos engagements publics vous exposent ? Achille Mbembe Il y a deux catĂ©gories de rĂ©ponses Ă mes prises de position thĂ©oriques et publiques. Dâune part, il y a des attaques, parfois ad hominem, des tentatives dâintimidation ou de chantage, voire, derniĂšrement, des menaces plus ou moins voilĂ©es. Elles viennent souvent dâindividus paumĂ©s, qui ont ratĂ© leur vie et qui, pour expliquer leurs misĂšres, convoquent toutes sortes de boucs Ă©missaires. Dâautre part, il y a des critiques dâautant plus bruyantes quâelles sont oiseuses et sans objet. Ă lâorigine de ce vacarme se trouvent souvent des gens qui ne cherchent pas Ă rĂ©flĂ©chir aux vrais enjeux, qui ne les comprennent pas ou si peu, ou qui sâennuient. Alors quâils pourraient consacrer leur Ă©nergie Ă construire des idĂ©es, des projets, que sais-je, ils prĂ©fĂšrent tout dĂ©molir. Câest tellement plus facile ! Colonisant les rĂ©seaux sociaux Ă longueur de journĂ©e, ils jouent le rĂŽle de petits ayatollahs et insultent ciel et terre. Que rĂ©pondez-vous Ă ceux qui disent sâappuyer sur vos travaux acadĂ©miques pour critiquer vos engagements politiques ? Sur le plan proprement acadĂ©mique, je suis davantage lu, Ă©tudiĂ© et commentĂ© aux Ătats-Unis, en Europe, dans des pays tels que lâInde, le Mexique, le BrĂ©sil, la Turquie, etc., quâen Afrique. TrĂšs peu dâAfricains connaissent vĂ©ritablement mes travaux. Pour quelles raisons ? La plupart nây ont tout simplement pas accĂšs. Dâautres ne lisent point ou lisent mal. Dâautres encore ne sont guĂšre au courant des thĂšmes sur lesquels portent mes Ă©crits ou nâont pas lâhumilitĂ© dâapprendre. Ce qui est certain, câest quâici, le dĂ©bat est faussĂ©. Ailleurs, on mâinvite pour rĂ©flĂ©chir, pour Ă©couter et dialoguer, pour dĂ©battre. Ici, nous ne sommes pas sur le terrain des idĂ©es. Au lieu de produire leur pensĂ©e propre, les plus sectaires dâentre eux prĂ©tendent me contredire Ă coups de caricatures. Il suffit que je renifle et ils toussent. Nous sommes donc trĂšs loin de lâĂ©change posĂ© et constructif qui fait avancer les idĂ©es et permet une comprĂ©hension plus subtile des dĂ©fis auxquels fait face le continent. Quâest-ce qui, selon vous, explique ces attaques ad hominem, dont la plupart viennent dâintellectuels comme vous ? Il y a probablement une part dâenvie et de jalousie. Mais pourquoi ceux qui mâinsultent ne publient-ils pas, dans la durĂ©e, des livres sĂ©rieux et des articles dans les revues acadĂ©miques internationales ? Pourquoi ne produisent-ils pas des idĂ©es originales, des concepts et des analyses susceptibles de retenir lâattention de leurs pairs, de critiques reconnus, voire de dĂ©cideurs ? Eh bien, parce que câest difficile. Tout cela est le rĂ©sultat dâannĂ©es de travail acharnĂ©, dâĂ©tudes et dâabnĂ©gation. Lâengagement au service de la pensĂ©e est en effet semblable Ă un sacerdoce et, il faut, pour rĂ©ussir, prendre des risques, sortir de la rĂ©pĂ©tition, Ă©prouver le besoin de faire partie de quelque chose dâutile. Au lieu dâemprunter des chemins aussi escarpĂ©s, beaucoup prĂ©fĂšrent se dĂ©fouler sur les rĂ©seaux sociaux. Que voulez-vous que jây fasse ? Il y a nĂ©anmoins des critiques dâordre politique ou idĂ©ologique qui vous sont adressĂ©es. Pourquoi nây rĂ©pondez-vous jamais ? Je nâai pas de temps Ă perdre. Que dites-vous Ă ceux qui affirment que vous avez changĂ© votre fusil dâĂ©paule ? Auraient-ils attentivement suivi mon travail, ils auraient bien vu comment, au cours de toutes ces annĂ©es, la question de savoir ce qui vaut la peine dâĂȘtre construit et comment a toujours Ă©tĂ© au centre de ma rĂ©flexion. Ils auraient pris bonne note de ma critique constante du sectarisme, de lâidentitarisme et de toute forme de racialisme ou de nativisme. Ils auraient bien vu comment cette rĂ©flexion tourne de plus en plus autour de la thĂ©matique du vivant, de lâen-commun, de la dĂ©mocratie Ă venir, de la rĂ©paration. Câest parce que, en vĂ©ritĂ©, je nâai jamais Ă©tĂ© partisan de la rĂ©volte pour la rĂ©volte, en circuit clos. Mes prises de position politique ont toujours Ă©tĂ© la consĂ©quence de ma rĂ©flexion thĂ©orique. La question gĂ©nĂ©rale de la nature de notre sociĂ©tĂ© et des moyens de la transformer me prĂ©occupe toujours. Pendant longtemps, je lâai abordĂ©e du point de vue de la critique thĂ©orique. Il ne sâagit pas de dĂ©serter complĂštement le champ de la thĂ©orie. Mais, cela est vrai, je suis Ă un moment de mon propre parcours oĂč, face aux enjeux du siĂšcle, il me semble absolument nĂ©cessaire dâĂ©largir nos modes de pensĂ©e et de prĂ©sence, dâhabiter lâimagination autrement si on veut inventer de nouveaux liens avec lâensemble du vivant. Avez-vous toujours Ă©tĂ© un rebelle ? Certains vous disent simplement arrogant⊠Mon seul et unique rĂȘve dans la vie aura Ă©tĂ© dâĂȘtre, du dĂ©but jusquâĂ la fin, un esprit libre. Je nâai jamais acceptĂ© dâavoir un directeur de conscience, quelquâun qui me dicte ce que je dois penser, avec quel accent je dois parler, qui je dois frĂ©quenter, quelle opinion je dois entretenir, comment je dois me conduire. Je ne crois en aucun catĂ©chisme. Je nâappartiens Ă aucun parti politique ni Ă aucune secte. Je ne suis mĂȘme pas membre du syndicat des enseignants de mon universitĂ©. Je ne suis le fidĂšle dâaucune Ăglise. Je nâai pas de pasteur et ne possĂšde pas de biens je nâai ni maison ni voiture, aucune cravate. Je dĂ©teste lâargent et nâen use point qui nâait Ă©tĂ© gagnĂ© Ă la sueur de mon front. Si faire lâexpĂ©rience de cette sorte de frugalitĂ© et de joie ascĂ©tique, câest ĂȘtre rebelle, alors jâaurai aspirĂ© toute ma vie Ă en devenir un, et je ne suis pas loin du but. Dans quelle mesure ces traits de caractĂšre ont-ils influencĂ© votre parcours intellectuel et politique ? Je me suis laissĂ© porter par de rĂ©elles interrogations, les rencontres quâil mâa Ă©tĂ© donnĂ© de vivre, une authentique curiositĂ©, les situations humaines qui mâont interpellĂ©. Par exemple, sous lâinfluence de ma grand-mĂšre, jâai consacrĂ© beaucoup de temps Ă rĂ©flĂ©chir Ă la question de la rĂ©sistance et de la lutte, ou encore Ă celle des mĂ©moires de la dĂ©faite. Mes premiers travaux portaient sur les pratiques dâindocilitĂ© et dâindiscipline. Jâai Ă©tĂ© profondĂ©ment influencĂ© par les traditions prophĂ©tiques du christianisme, la thĂ©ologie de la libĂ©ration, les pensĂ©es juives du messianisme. Cela a aussi Ă©tĂ© le cas de lâexpĂ©rience historique africaine-amĂ©ricaine, de lâexpĂ©rience sud-africaine, toutes deux malheureusement peu connues ou Ă©tudiĂ©es en Afrique francophone. LâAFRIQUE EST Ă LA FOIS UNE RĂSERVE DE PUISSANCE ET UNE PUISSANCE EN RĂSERVE Comme vous le constatez, les courants de pensĂ©e qui mâont le plus influencĂ© reposaient, les uns et les autres, sur un surplus de souffle, sur quelque assise spirituelle, sur le projet dâappartenance non Ă un village restreint et fermĂ©, mais Ă une communautĂ© vĂ©ritablement planĂ©taire. Je ne me suis jamais contentĂ© du politique pour le politique. Le politique ne se suffit pas Ă lui-mĂȘme. Sans ce souffle et ce supplĂ©ment de sens, il se ramĂšne Ă une vulgaire affaire de pouvoir pour le pouvoir, sans but ni finalitĂ© autre que le pouvoir. Cette dimension spirituelle explique-t-elle votre rĂ©ticence Ă recourir Ă la violence ou Ă embrasser certaines formes de radicalisme ? Elle explique pourquoi tout ce cheminement mâaura conduit, en fin de compte, aux questions du vivant et de lâen-commun, interrogations dĂ©cisives de notre temps sâil en Ă©tait. Elle explique aussi pourquoi, face au sectarisme et Ă lâesprit villageois de lâĂ©poque, jâĂ©voque sans cesse lâafropolitanisme en tant que modalitĂ© dâouverture sur le monde, de dĂ©closion du monde, ou en tant que figure singuliĂšre de la nĂ©cessaire conscience planĂ©taire que requiĂšrent les temps que nous vivons. Je sais que la violence des dominants est la mĂšre de toutes les autres violences. Je sais aussi quâĂ certains moments de lâHistoire, il nây a pas dâautre choix que de rĂ©sister. Si les conditions lâexigent, je prĂ©fĂšre mourir debout plutĂŽt quâaplati, le visage affalĂ© sur la face ventrale de lâexistence. Mais il ne sâagit pas de faire des choix dans lâabstrait. Il sâagit de les vivre au quotidien, dans des luttes rĂ©elles et situĂ©es, en faisant chaque fois le pari de lâintelligence et de lâespĂ©rance au dĂ©triment de la haine, de la bĂȘtise et du sectarisme. Je dĂ©teste le sectarisme, qui se nourrit de bĂȘtise et qui nourrit la haine. Le panafricanisme a-t-il une place dans votre cheminement intellectuel et politique ? Les motifs chrĂ©tiens de la crucifixion et de la rĂ©surrection mâauront marquĂ© plus que tout, peut-ĂȘtre parce quâen eux se jouent, de façon trĂšs directe, la part tragique et la part dâallĂ©gresse de toute existence. Leur impact sur mon interprĂ©tation de lâanticolonialisme et ma philosophie de la libĂ©ration est incontestable. Le panafricanisme a toujours Ă©tĂ© pour moi une question ouverte. Il ne saurait ĂȘtre un dogme. On ne crĂ©e strictement rien en passant ses journĂ©e Ă psalmodier Kwame Nkrumah, Patrice Lumumba, Cheikh Anta Diop, Frantz Fanon et tous les autres. Pour rĂ©pondre aux dĂ©fis de notre temps, nous sommes obligĂ©s de penser Ă la fois avec eux et contre eux. Pour moi, lâAfrique est Ă la fois une rĂ©serve de puissance et une puissance en rĂ©serve. Je milite pour quâun jour, elle redevienne son centre propre, sa force propre, un vaste espace de circulation par-delĂ les frontiĂšres hĂ©ritĂ©es de la colonisation, un acteur gĂ©opolitique Ă part entiĂšre. Et câest en mobilisant les ressources de lâintelligence collective, et non dans la bĂȘtise du sectarisme et de la haine, que nous y arriverons. Quelle est la nature exacte de votre rapport avec votre pays, le Cameroun ? TrĂšs jeune, jâai eu des problĂšmes avec mon pays natal. Jâavais 14 ans quand Ernest Ouandie a Ă©tĂ© exĂ©cutĂ©. Jâavais suivi son procĂšs et celui de Mgr Albert Ndongmo quand jâĂ©tais Ă lâinternat, dans le secondaire. Cet Ă©pisode mâa beaucoup marquĂ©. Ma grand-mĂšre mâavait beaucoup parlĂ© de la lutte pour lâindĂ©pendance, Ă laquelle elle avait pris part, et dans laquelle son fils unique, compagnon de route de Ruben Um Nyobe, est tombĂ©. Il sâappelait Pierre Yem Mback. Pendant une dizaine dâannĂ©es, jâai Ă©tĂ© ostracisĂ© pour avoir publiĂ© les Ă©crits de Ruben Um Nyobe que je cherchais Ă sauver de lâoubli. CâĂ©tait Ă une Ă©poque oĂč il Ă©tait interdit de prononcer son nom en public, le sien tout comme ceux des autres martyrs de lâĂ©poque. Mon regard sur notre histoire et sur ce dont nous sommes capables est donc tout sauf naĂŻf. Il suffit, Ă cette Ă©poque, de lire proprement mes travaux. Cette part de luciditĂ©, jây tiens. Pour le reste, mon plus grand souhait est que sâouvre bientĂŽt pour le Cameroun un grand moment de rĂ©conciliation gĂ©nĂ©rale. Venons-en Ă vos rapports avec la France. Comment les caractĂ©riseriez-vous ? Nous avons une histoire commune. Elle est ineffaçable. Mais avoir un passĂ© ensemble ne signifie pas automatiquement avoir un futur en commun. Il y a des mĂ©moires stĂ©riles, qui ouvrent sur des chemins qui ne mĂšnent nulle part. Le risque est de rester empĂȘtrĂ© dans ces mĂ©moires stĂ©riles. La mienne nâa jamais Ă©tĂ© une critique nihiliste de la politique française en Afrique. Jâai toujours vĂ©cu dans lâespĂ©rance quâun horizon constructif puisse exister. Encore faut-il ĂȘtre capable dâen dĂ©chiffrer les signes. Cela exige de rester en permanence en Ă©veil. Le futur, il faut lâinventer. Pour ce faire, il nous faut sortir dâun rapport infantile et parfois hystĂ©rique avec la France. Est-ce ce qui explique votre rapprochement avec Emmanuel Macron ? La Françafrique nâa aucun avenir mĂȘme si sa lente agonie peut se poursuivre encore pendant un bon moment. Si beaucoup commencent Ă le comprendre, trĂšs peu, cĂŽtĂ© français comme cĂŽtĂ© africain, ont une idĂ©e nette de ce par quoi il faut la remplacer. Le plus grave serait quâelle survive davantage dans lâesprit de ceux qui prĂ©tendent la combattre que dans celui de ceux qui voudraient la pĂ©renniser. Sur un plan historique, il existe donc une fenĂȘtre de tir. Câest mon pari, et je peux Ă©videmment me tromper. Il faut sâen saisir et essayer de lâĂ©largir, car elle ne restera pas ouverte pendant longtemps. Câest ce Ă quoi lâon sâefforce de contribuer, comment y contribuent au demeurant quantitĂ© dâindividus, mouvements et petits collectifs en Afrique et en France. On vous a reprochĂ© dâavoir acceptĂ© dâaccompagner Emmanuel Macron au Cameroun, lors de sa derniĂšre tournĂ©e africaine. Pourquoi lâavez-vous fait ? Je ne vois pas de quoi ils se mĂȘlent. Ă LIRECameroun â France tout se joue aujourdâhui, par Achille Mbembe Lâintellectuel que vous ĂȘtes ne se lie-t-il pas les mains en acceptant ce type dâinvitation ? Emmanuel Macron nâa jamais proposĂ© de me lier les mains. En vĂ©ritĂ©, ce qui lâintĂ©resse, ce qui lâa toujours intĂ©ressĂ©, câest quâelles soient le plus libres possible. Je parle des mains, mais il sâagit en rĂ©alitĂ© du cerveau. Si connivence il y a â et elle enrage beaucoup dâignorants â, câest prĂ©cisĂ©ment sur cette base. Il est en effet possible dâentretenir avec le pouvoir, tout pouvoir, un rapport de totale libertĂ©. Les faibles dâesprit nâĂ©tant pas habituĂ©s Ă ce type de relation, je comprends quâils laissent fleurir maints fantasmes Ă mon sujet et au sujet de mon rapport Ă Emmanuel Macron. Que rĂ©pondez-vous Ă ceux qui prĂ©conisent une rupture nette avec la France ? Je lâai dit Ă plusieurs reprises, il nây a strictement rien que la France puisse donner Ă lâAfrique que lâAfrique ne puisse sâoffrir Ă elle-mĂȘme. Il nây a pas meilleur pari historique et dĂ©claration plus radicale de libertĂ©. Encore faut-il en mesurer les consĂ©quences et ĂȘtre prĂȘt Ă les assumer. Je crois, avec plusieurs autres, quâil faut sortir dâun face-Ă -face stĂ©rile avec la France, dans la perspective de rĂ©invention dâun monde en commun. Parce que nous nâavons pas le choix. Les grands dĂ©fis sont communs, lâavenir ne pourra ĂȘtre que commun. Je suis, comme vous lâimaginez, de celles et ceux qui plaident pour un engagement critique avec le reste du monde, avec la France, mais aussi avec les Ătats-Unis, la Chine, la Russie, lâInde, lâAllemagne et les autres puissances du monde. De toute façon, ce ne sont pas des choses qui se dĂ©crĂštent. Une rupture ne sâimprovise pas. Elle se construit, loin des incantations. Ă peu prĂšs un an aprĂšs le Sommet de Montpellier, oĂč en est-on ? Petit Ă petit, un autre Ă©cosystĂšme doit se mettre en place avec de nouveaux acteurs, de nouveaux outils intelligents, et dâabord en Afrique mĂȘme, oĂč nous disposons dâun remarquable rĂ©servoir de jeunes. La Fondation de lâinnovation pour la dĂ©mocratie sera lancĂ©e en octobre prochain et commencera ses activitĂ©s dĂšs 2023. Elle se construira avec celles et ceux qui sont dâores et dĂ©jĂ engagĂ©s dans lâanimation de lâintelligence collective et la mobilisation citoyenne. Elle leur donnera de la rĂ©sonance et des possibilitĂ©s de dĂ©veloppement. Elle proposera des lieux physiques et digitaux de dĂ©bat, dâĂ©change, de construction de connaissances et de sens, des parcours pĂ©dagogiques cibles, de la mise en rĂ©seau de collectifs, de lâaccompagnement de projets innovants. Elle sera Ă la fois dans lâĂ©coute, dans la collaboration et dans la transmission. Elle investira dans des technologies intelligentes⊠Bref, des formes inĂ©dites dâaccĂšs aux savoirs, de prise de conscience et de mobilisation seront co-construites pas Ă pas, avec toutes celles et tous ceux qui sont soucieux de rĂ©armer la pensĂ©e sur la dĂ©mocratie et de mobiliser les bonnes volontĂ©s. LâidĂ©e est de relancer lâagenda dĂ©mocratique sur le continent. Que devient la Maison des mondes africains ? La Maison des mondes africains verra le jour bien avant la fin du deuxiĂšme quinquennat dâEmmanuel Macron. Luc Briard, Liz Gomis et bien dâautres y travaillent avec intelligence et acharnement. Notre vĆu est que la Ville de Paris, Anne Hidalgo en premier, sây implique avec tout lâentrain que suscite ce projet aussi bien en France quâĂ travers le reste du monde. Dâautres initiatives sont en cours, dans lâesprit du Sommet de Montpellier. Tel est le cas du Campus nomade et du Collegium Afrique-Europe que pilote lâhistorienne Leyla Dakhli. Dâautres groupes de travail vont progressivement ĂȘtre mis en place, notamment sur les musĂ©es de demain et autres tiers lieux, ou sur le dĂ©veloppement des industries culturelles en Afrique. Le mĂȘme Ă©lan est en cours dans les grandes institutions de recherche telles que le CNRS ou lâIRD. LâAFD nâest pas en reste, puisquâelle est Ă la pointe de ce renouveau en gestation. En rĂ©alitĂ©, câest un vaste mouvement intellectuel et gĂ©nĂ©rationnel quâil faut enclencher. Pour cela, il y a besoin dâun vĂ©ritable rĂ©armement du point de vue des idĂ©es et des concepts. Le Sommet de Montpellier a ouvert la voie Ă un dialogue substantiel avec la sociĂ©tĂ© civile qui repose sur cette nouvelle forme dâintelligence. Nous transformerons la relation en mettant cette façon de penser au service de co-actions inĂ©dites par le biais dâoutils intelligents. Du reste, au cours des trois annĂ©es qui viennent, neuf forums rĂ©gionaux auront lieu, Ă commencer par celui de Johannesburg, en octobre. Câest ainsi que lâon construira, mĂ©thodiquement, la rupture. Et quâen est-il des autres facteurs tels que les interventions militaires ou le franc CFA ? Lâon nâĂ©chappera pas Ă une remise Ă plat de toutes ces questions. Il y a une forte demande, notamment de la part des nouvelles gĂ©nĂ©rations, de reprendre en main le destin des nations africaines et, sur cette base, de participer librement Ă lâĂ©dification de la communautĂ© terrestre. Une simple rĂ©volte sans idĂ©es ni moyens serait cependant la pire maniĂšre de sây prendre. Si rupture avec les modĂšles passĂ©s il doit y avoir, il faut, ensemble, tracer lâhorizon et construire le chemin de façon mĂ©thodique. AprĂšs ce qui sâest passĂ© au Mali, il est temps, par exemple, de changer radicalement la posture stratĂ©gique française en Afrique. Il ne faut pas seulement sortir du paradigme des expĂ©ditions militaires Ă rĂ©pĂ©tition. Il faut Ă©largir notre conception de la sĂ©curitĂ© humaine sur le continent et poser, sans masque, la question de la prĂ©sence et de lâutilitĂ© des bases militaires françaises dans un contexte de relance de la compĂ©tition entre les puissances. Certains analystes prĂ©tendent quâune des raisons de la perte dâinfluence française en Afrique est la conditionnalitĂ© dĂ©mocratique. Câest faux. Lâon ne mettra pas fin Ă la fragilitĂ© politique des Ătats africains par davantage de militarisme ou en fermant les yeux sur les dĂ©vastations qui rĂ©sultent de la tyrannie. Plus la France renforcera sa posture militariste en liant son sort Ă celui de pouvoirs corrompus, vieillissants et prĂ©dateurs, plus elle mettra en danger ses propres intĂ©rĂȘts. Lâaggiornamento sera intĂ©gral ou ne sera pas. Que pensez-vous de lâengagement dâEmmanuel Macron de mettre en place une commission dâhistoriens pour revisiter les annĂ©es de guerre 1960 et 1971 au Cameroun ? Cet engagement sâinscrit dans la continuitĂ© du travail fait autour des restitutions, de lâAlgĂ©rie et du Rwanda. Ă mes yeux, les trois rapports produits Ă ces occasions par Felwine Sarr et BĂ©nĂ©dicte Savoy, Benjamin Stora, Vincent Duclert et son Ă©quipe constituent de prĂ©cieux documents. Câest aux sociĂ©tĂ©s civiles française et africaines de sâen saisir afin de tracer de nouveaux chemins dâavenir. Mais nous avons autant besoin de la pression des sociĂ©tĂ©s civiles que dâalliĂ©s Ă lâintĂ©rieur de la technostructure qui sachent traduire en politiques publiques effectives ce qui, autrement, demeurerait un simple vĆu pieux. Dans le cas du Cameroun, lâespoir est que le devoir de vĂ©ritĂ© sera enfin honorĂ© et que, sur cette base, il sera possible de remettre la mĂ©moire au service dâun futur partagĂ©. On connait votre relation avec Emmanuel Macron. Entretenez-vous des liens avec des chefs dâĂtat africains ? Il mâest arrivĂ© de discuter avec certains dâentre eux, et ils ne sont pas nombreux. Mais jâentretiens aussi des conversations avec dâautres figures publiques ou privĂ©es, des diplomates, des footballeurs professionnels, des artistes, des musiciens et, de temps Ă autre, des hommes extrĂȘmement aisĂ©s et cultivĂ©s, qui ont lu ce que jâai Ă©crit et qui dĂ©sirent en savoir davantage. Je siĂšge dans les conseils dâadministration dâun certain nombre de fondations, en Afrique du Sud et Ă lâĂ©tranger. Je participe donc constamment Ă des flux dâidĂ©es qui se renouvellent sans cesse et mâobligent Ă rester en permanence en Ă©veil. Trouvez-vous encore le temps dâĂ©crire ? Deux ouvrages paraĂźtront dĂ©but 2023. Le premier, Les Liens Ă venir, sortira chez Actes Sud, et le deuxiĂšme, La CommunautĂ© terrestre, aux Ă©ditions La DĂ©couverte. Source Jeune Afrique
403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID LNlKwWY9lG7DFBv70lviEEiS6hWUu_d_ZGgI3c0IoWJjxYQ5Vg2tMw==
pas de regard télécom sur mon terrain