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leprix un certain regard est une récompense décernée depuis à un des films de la sélection un certain regard, une section de la sélection officielle du festival de cannes. .. catégories : prix décerné au festival de cannes mai un certain regard a proposé dans sa compétition films venus de pays différents. six d'entre eux étaient des premiers films. le film
Lenouveau long métrage du réalisateur de Diamond Island, produit par Aurora Films, en collaboration avec Vanderstic et Frakas, sera diffusé en 1re mondiale le mois prochain dans la section « Un certain regard » du Festival de Cannes.
NadineLabaki, présidente du jury Un certain regard : "Je veux que les femmes soient sélectionnées au Festival de Cannes car leurs films le méritent" via Aufeminin.com
AFP Une vidéo du cinéaste iranien Jafar Panahi, détenu actuellement en Iran pour son opposition au régime de Téhéran, a été projeté jeudi soir à l'ouverture de la section un Certain Regard au festival de Cannes.
Ceconstat sans concession, c’est Die Zeit, l’une des plus prestigieuses publications allemandes, qui le livre. Dans un article publié le 25 mai, trois jours avant la clôture de cette 75 e édition du Festival de Cannes, l’hebdomadaire souligne “la nervosité” et “le mécontentement” qui régnaient cette année sur la Croisette.
Ou Rencontrer Des Femmes Celibataires A Montreal. Personne n’incarne mieux que lui le déni de la capitulation japonaise de 1945. Hiroo Onoda voulait être pilote mais, sujet au vertige, fut formé à la guérilla. En 1944, jeune officier, il est envoyé en mission dans la jungle philippine où il restera plus de trente ans, persuadé que la Seconde Guerre mondiale n’est pas finie. Autre vertige ! Il vous est absolument interdit de vous donner la mort… Nous viendrons vous chercher… Survivez coûte que coûte » ces quelques mots de son supérieur ont régi trois décennies de la vie d’Onoda. Son histoire avait lointainement inspiré Josef von Sternberg, en 1953, pour Fièvre sur Anatahan ».Léa Seydoux, Jacques Audiard, Sophie Marc Cet article est réservé aux abonnés. Pour lire la suite, profitez de nos offres dès 1€ Je teste sans engagement En choisissant ce parcours d’abonnement promotionnel, vous acceptez le dépôt d’un cookie d’analyse par Google. Paiement sécurisé Sans engagement Accès au service client
Un Certain Regard, section parallèle compétitive du Festival de Cannes a attribué le prix de la meilleure performance, en exaequo, au Tunisien Adam Bessa dans Harka et à la Luxembourgeoise Vicky Krieps dans Corsage. Le Palmarès de la Section Un Certain Regard, organisée du 17 au 27 mai, a été dévoilé vendredi, à la veille de la cérémonie de clôture du 75ème Festival de Cannes organisé du 17 au 28 mai. Adam Bessa a été primé pour son rôle Ali dans Harka, un long-métrage de fiction 90′, écrit et réalisé par Lotfy Nathan. Cet américain d’origine égyptienne est à son premier film qui est une coproduction entre la Tunisie, la France, le Luxembourg et la Belgique. Cinetelefilms prod Tunisie et Cinenovo France sont à la production de Harka dont le tournage a eu lieu dans le Sud du pays a représenté la Tunisie à Un certain Regard. Selon un communiqué du festival de Cannes, centré sur le cinéma d’auteur et de découverte, Un certain Regard 2022 a proposé 20 longs métrages dans sa compétition. Sept d’entre eux sont des premiers films qui concourrent également pour la Caméra d’or. » Najib Allagui Omar, Salima Maatoug Alyssa et Ikbal Harbi Sarra sont également au casting de Harka, une parabole moderne sur la résistance. Ali, un jeune Tunisien rêvant d’une vie meilleure, vit une existence précaire en vendant de l’essence de contrebande au marché noir local. A la mort soudaine de son père, Ali doit s’occuper de ses deux soeurs et de leur expulsion imminente.. ». Dans une ionterview publiée sur le site du festival de Cannes, le réalisateur a déclaré; j’ai eu tellement de chance d’avoir Adam Bessa Ali à mes côtés pour ma première expérience …C’était très facile de lui parler, il était attentionné, intelligent… ». Autour du tournage, il décrit une belle aventure malgré des conditions climatiques difficiles où il faisait 50 degrès. Au palmarès de cette édition de Un Certain Regard » figurent cinq autres films ; Les Pires de Lise Akoka & Romane Gueret prix Un certain Regard, Joyland du Pakistanais Saim Sadiq prix du jury, le Roumain Alxandru Belc pour Metronom Prix de la mise en scène, Mediterranean Fever de la palestinienne Maha Haj prix du meilleur scénario et Rodéo de la Française Lola Quinvoron coup de cœur du jury. Le jury présidé par l’Italienne Valeria Golino actrice, réalisatrice et productrice, était composé de Debra Granik réalisatrice, Joanna Kulig actrice, Benjamin Biolay acteur et interprète et Edgar Ramirez producteur. Quatre films de réalisateurs d’origine arabe dont Harka ont figuré la section Un Certain Regard ; Plus que Jamais de Emily Atef Allemagne/France, Mediterranean Fever de Maha Haj Palestine et Le Bleu du Caftan de Maryam Touzani Maroc. Les films Un Certain Regard seront projetés du 1er au 07 juin à Paris, au Reflet Médicis.
Le Monde Afrique Rwanda Pour sa quinzième édition, du 23 au 28 août, la manifestation charentaise propose une sélection qui met à l’honneur une nouvelle génération de cinéastes du pays des Mille Collines. Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique » depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique ». Parmi les cinématographies africaines, il en est une dont on ne soupçonnait pas l’inventivité celle du Rwanda. Après le génocide des Tutsi, qui fit entre 800 000 et 1 million de morts au printemps 1994, le cinéma a pourtant constitué un mode d’expression artistique privilégié pour mettre des images sur les maux de la tragédie et panser les plaies. C’est cette production multiple et méconnue que la 15e édition du Festival du film francophone d’Angoulême met à l’honneur du 23 au 28 août. Le rendez-vous des cinéphiles charentais propose, en plus de la compétition et d’autres sections, un panorama rare établi en collaboration avec l’Institut français à Kigali. Après un hommage à la Tunisie en 2011, au Burkina Faso en 2014 ou encore à l’Algérie en 2021, Angoulême offre une sélection riche et protéiforme de dix longs-métrages et cinq courts, qui témoigne de la résilience formidable d’un pays tourné vers l’avenir », selon Marie-France Brière, cofondatrice du festival avec le producteur Dominique Besnehard. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Un an après la visite d’Emmanuel Macron, la confiance s’est installée » entre la France et le Rwanda Tous deux se sont rendus à Kigali en mai, répondant à l’invitation de Gaël Faye, auteur du roman Petit pays Grasset, 2016 et coréalisateur avec Michaël Sztanke d’un documentaire, Rwanda le silence des mots, diffusé en avril sur Arte. C’est essentiel d’humer un pays quand on lui rend hommage », raconte Mme Brière. Sur place, la productrice dit avoir été inspirée par la créativité absolue qui anime la société rwandaise ». L’œuvre qui résume le mieux l’esprit qui a présidé au choix des deux cofondateurs du festival et qui sera montrée à Angoulême est sans doute le film de Sonia Rolland. Née dans la capitale rwandaise, l’ancienne Miss France devenue actrice et réalisatrice a sorti en 2014 un premier documentaire au titre éloquent, Rwanda, du chaos au miracle. Lire aussi Le Silence des mots », sur Arte la part d’ombre de l’opération française Turquoise » au Rwanda La sélection va du regard extérieur de cinéastes étrangers au regard intérieur sur l’histoire du génocide, mais aussi sur la situation actuelle et sur le futur. En bref, elle fait le pont entre les atrocités de 1994 et demain », résume Catherine Ruelle, ancienne journaliste à RFI. Une véritable liberté de ton et d’expression » Grande spécialiste du cinéma africain, celle qui présentera chacun des films au public angoumoisin et accueillera les équipes conviées confie sa fascination toute particulière pour les cinéastes d’Afrique de l’Est. Ils arrivent à la surface sans ancêtre dans le septième art, en autodictactes. Ils ont donc une véritable liberté de ton et d’expression, sans limite à leur imaginaire », analyse-t-elle, en citant en exemple le Kenya et le film Rafiki 2018. Déclinaison lesbienne de Roméo et Juliette, cet hymne à l’amour de la réalisatrice Wanuri Kahiu avait fait forte impression dans la section Un certain regard au Festival de Cannes. Au pays des Mille Collines, cette audace et cette modernité s’expriment notamment dans Neptune Frost, de Saul Williams et Anisia Uzeyman. Montrée à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2021 mais pas encore sortie dans les salles françaises, cette coproduction américano-rwandaise est une romance musicale teintée de science-fiction qui suit la relation entre un cyberpirate non genré et un mineur de coltan – un minerai utilisé dans la fabrication d’équipements électroniques. Quant au court-métrage Icyasha, de Marie-Clémentine Dusabejambo, il évoque lui aussi l’acceptation de la différence, en centrant son propos sur l’intersexuation. Lire aussi Hicham Falah Fidadoc C’est à nous d’inventer nos outils pour le documentaire africain » Devenu incontournable dans le paysage des festivals de films en France, Angoulême garde ses projecteurs braqués sur l’Afrique. Pour son édition 2023, il consacrera un hommage à une autre cinématographie du continent celle du Maroc. Alexis Duval Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lise Akoka et Romane Gueret, les réalisatrices du film "Les Pires", lauréat du prix "Un certain regard" à Cannes - CHRISTOPHE SIMON / AFPLes réalisatrices Lise Akoka et Romane Gueret ont été récompensées pour leur film "Les Pires".Le prix "Un Certain Regard", la principale section parallèle du 75e Festival de Cannes, centrée sur le "cinéma d'auteur et de découverte", est allé vendredi au film français Les Pires de Lise Akoka et Romane Gueret. Le film choisi par le jury présidé par Valeria Golino raconte un casting sauvage dans une cité de Boulogne-sur-Mer Pas-de-Calais.Entre réalité et fiction, le film qui sort le 12 novembre en salles en France, a nécessité un long travail d'immersion et la rencontre de centaines d'enfants. Les deux co-réalisatrices, Lise Akoka et Romane Gueret, ont toutes deux travaillé dans le casting ou le coaching d'enfants pour le cinéma, expérience qui a nourri le film. Elles avaient notamment tourné une web série pour Arte, Tu film français "coup de cœur du jury"Le premier film pakistanais présenté à Cannes, Joyland de Saim Sadiq, repart avec le prix du jury. Le prix de la mise en scène est allé au Roumain Alexandru Belc pour interprètes se partagent le prix de la meilleure performance la Luxembourgeoise Vicky Krieps pour son rôle de l'impératrice Sissi dans Corsage et Adam Bessa, qui prête ses traits à Ali, jeune Tunisien qui vivote de l'essence de contrebande vendue sur un bout de trottoir, dans meilleur scénario est allé au film palestinien Mediterranean Fever de Maha Haj. Rodéo, premier long-métrage de la Française Lola Quivoron, sur une bande de motards marginaux, est reparti avec un lot de consolation le "coup de coeur du jury".Qui décrochera la Palme d'Or? Le Festival de Cannes rend son verdict ce samedi"Elvis" le King ressuscité par Baz Luhrmann au Festival de Cannes"Etudiants fauchés vendent série TV", des étudiants niçois arpentent la Croisette à la recherche d'un producteur
“Un Certain Regard”, section parallèle compétitive du Festival de Cannes, a attribué le prix de la meilleure performance, ex aequo, au Tunisien Adam Bessa dans “Harka”, et à la Luxembourgeoise Vicky Krieps dans “Corsage”. Le Palmarès de la Section Un Certain Regard, organisée du 17 au 27 mai, a été dévoilé vendredi, à la veille de la cérémonie de clôture du 75ème Festival de Cannes organisé du 17 au 28 mai. Adam Bessa a été primé pour son rôle Ali dans Harka, un long-métrage de fiction 90′, écrit et réalisé par Lotfy Nathan. Cet américain d’origine égyptienne est à son premier film qui est une coproduction entre la Tunisie, la France, le Luxembourg et la Belgique. Cinetelefilms prod Tunisie et Cinenovo France sont à la production de Harka dont le tournage a eu lieu dans le Sud du pays a représenté la Tunisie à Un certain Regard. Selon un communiqué du festival de Cannes, “centré sur le cinéma d’auteur et de découverte, Un certain Regard 2022 a proposé 20 longs métrages dans sa compétition. Sept d’entre eux sont des premiers films qui concourent également pour la Caméra d’or”. Najib Allagui Omar, Salima Maatoug Alyssa et Ikbal Harbi Sarra sont également au casting de Harka, “une parabole moderne sur la résistance. Ali, un jeune Tunisien rêvant d’une vie meilleure, vit une existence précaire en vendant de l’essence de contrebande au marché noir local. A la mort soudaine de son père, Ali doit s’occuper de ses deux soeurs et de leur expulsion imminente”. Dans une interview publiée sur le site du festival de Cannes, le réalisateur a déclaré; “j’ai eu tellement de chance d’avoir Adam Bessa Ali à mes côtés pour ma première expérience … C’était très facile de lui parler, il était attentionné, intelligent…”. Autour du tournage, il décrit une belle aventure malgré des conditions climatiques difficiles où il faisait 50 degrés. Au palmarès de cette édition de “Un Certain Regard” figurent cinq autres films ; Les Pires de Lise Akoka & Romane Gueret prix Un certain Regard, Joyland du Pakistanais Saim Sadiq prix du jury, le Roumain Alxandru Belc pour Metronom Prix de la mise en scène, Mediterranean Fever de la palestinienne Maha Haj prix du meilleur scénario et Rodéo de la Française Lola Quinvoron coup de cœur du jury. Le jury présidé par l’Italienne Valeria Golino actrice, réalisatrice et productrice, était composé de Debra Granik réalisatrice, Joanna Kulig actrice, Benjamin Biolay acteur et interprète et Edgar Ramirez producteur. Quatre films de réalisateurs d’origine arabe dont Harka ont figuré la section Un Certain Regard ; Plus que Jamais de Emily Atef Allemagne/France, Mediterranean Fever de Maha Haj Palestine et Le Bleu du Caftan de Maryam Touzani Maroc. Les films Un Certain Regard seront projetés du 1er au 07 juin à Paris, au Reflet Médicis.
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